Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Blog d'un jeune Français

Blog d'un jeune Français
Publicité
Archives
7 avril 2006

LES BLOQUAGES DES LYCEES SONT ILLEGAUX ! ! !

Voila un article interressant sur les bloquages:

Ref. Code de l'Education - Article 511-2 :
«Dans les collèges et les lycées, les élèves disposent, dans le respect du pluralisme et du principe de neutralité, de la liberté d'information et de la liberté d'expression. L'exercice de ces libertés ne peut porter atteinte aux activités d'enseignement

On constate donc que les lycéens et les collégiens n'ont pas le droit de bloquer leur établissement !

Espérons que les lycées et collèges seront débloqués par la loi (et les CRS dont j'applaudis le travail et le mérite) !

REAFFIRMONS LE DROIT A L'ENSEIGNEMENT !

Publicité
Publicité
7 avril 2006

LES ABERRATIONS DE LA GAUCHE SUR LE CPE ET CNE

     Plusieurs élus de gauche, dont Noël Mamère et Ségolène Royale, ont décrété qu'ils exclueraient les entreprises qui utiliseront, ou qui utilisent, le CPE et le CNE (qui a déjà créé plus de 360 000 emplois !) de toute subvension ! On constate une fois de plus que la gauche ne veut pas baisser le chômage car elle veut empêcher les entreprises d'embaucher ! De plus je tiens à souligner le caractère illégal de cette mesure discriminatoire: les élus se doivent de respecter la loi !

5 avril 2006

IRAN: REAGISSONS MAIS RAPIDEMENT

     "Depuis que l'ampleur du programme atomique de l'Iran a été révélée, en août 2002, rien n'a pu convaincre Téhéran de le suspendre. Ses implications militaires sont, malgré les dénégations officielles, évidentes aux yeux des experts. Les trois pays européens – France, Royaume-Uni, Allemagne – qui ont pris la responsabilité de négocier avec Téhéran n'ont rien obtenu. Les experts estiment qu'au rythme actuel, une bombe atomique iranienne sera une réalité, dans trois à dix ans. Venant d'un pays dont le président affiche son objectif de «rayer Israël de la carte», on peut craindre le pire. Ensuite, cela aurait un lourd impact sur la course aux armements au Moyen-Orient, puisque l'Arabie saoudite, l'Égypte et sans doute la Turquie seraient puissamment incitées à se doter elles aussi de la bombe. Enfin, c'est tout le système mondial de prévention du risque atomique qui s'écroulerait, puisque sa clé de voûte, le traité de non-prolifération nucléaire (TNP), ne servirait plus à rien si un de ses pays signataires – et qui en respecte officiellement les dispositions – pouvait impunément acquérir l'arme suprême.  Ni les États-Unis, ni la France, ni la Grande-Bretagne, ne sont disposés à laisser l'Iran se doter de cet atout stratégique. Toute crise impliquant ce pays prend ipso facto un caractère pétrolier. Les Iraniens le savent et en jouent. La République islamique dispose des troisièmes plus importantes réserves mondiales de pétrole. Elle exporte 2,7 millions de barils par jour dont la plus grande part vers l'Asie (le Japon dépend pour 15% de ses importations pétrolières de l'Iran, la Chine pour 13%), mais aussi vers l'Europe (0,8 mbj). Si bien qu'on voit mal quelles sanctions internationales pourraient efficacement frapper l'Iran sans faire flamber le prix du brut. Les crises régionales renforcent la main de l'Iran. Ses principaux ennemis, les talibans à l'est et Saddam Hussein à l'ouest, ont été éliminés (par les États-Unis !) ces cinq dernières années. Téhéran contrôle la situation en Palestine via les mouvements islamistes, au Liban grâce au Hezbollah, en Afghanistan et surtout en Irak, qui détient aussi d'énormes réserves de pétrole où les partis chiites pro-iraniens dominent désormais la vie politique. Sur tous ces fronts, une guerre de basse intensité est déjà en cours entre Téhéran et Washington. L'affrontement nucléaire n'en est que le témoignage le plus visible. Quand la diplomatie traditionnelle est impuissante, il reste les sanctions. A plusieurs étapes au cours des pourparlers chaotiques menés depuis 2003, les États-Unis et les Européens en ont brandi la menace. Mais les deux questions soulevées par d'éventuelles sanctions n'ont toujours pas trouvé de réponse : leurs conséquences, notamment pétrolières, ne seraient-elles pas trop négatives pour la communauté internationale ? et un consensus international suffisamment fort, incluant notamment la Chine et la Russie, peut-il être construit pour imposer ces mesures à l'Iran ? En outre, faire pression sur l'Iran peut, à l'inverse de l'effet recherché, renforcer le régime des mollahs en fusionnant les courants nationalistes et fondamentalistes de l'opinion iranienne. Une intervention militaire, sur le terrain ou par la voie aérienne, est entourée d'énormes risques, à supposer même qu'Israël, menacé de riposte immédiate, ou les États-Unis, embourbés en Irak, en aient les moyens. Au bout du compte, la communauté internationale n'a le choix qu'entre de mauvaises solutions. Et les deux années qui viennent sont cruciales. "(Site du Figaro, Page Internationale)

     Alors espérons que la France se décidera à arrêter cette dictature islamiste et que ses dirigeants ne ferons pas la sourde oreille comme ils l'avaient fait en laissant Hitler réarmer l'Allemagne. L'Iran se prépare à la guerre, c'est évident : ils veulent créer une bombe nucléaire (ce qu'ils feront si on ne les en empêche pas), ils essaient des nouvelles torpilles et missiles (les derniers essais datant de quelques jours à peine avec une torpille des plus rapide de monde et un missile sol-sol indétectable au radar !). La réaction militaire internatonale s'impose, c'est la seule alternative possible !

3 avril 2006

LES GREVES

Ce qui est stupide à l’échelle individuelle paraît à quelques-uns admirable à l’échelle d’une nation. Imaginez que votre propriétaire refuse de refaire la douche dont les joints ne sont plus étanches. Vous iriez lui bloquer sa voiture ? Vous fermeriez l’école de ses enfants ? Vous défileriez devant son domicile avec une grande pancarte ? Vous brûleriez son effigie ? Et vous jetteriez de temps à autre des pavés dans ses vitres ? Pourtant, si on y réfléchit bien, c’est là le principe d’une grève générale. Rien ne vaut la communication pour apaiser les tensions. En fait, beaucoup des maux de notre société seraient soignés si les gens acceptaient plus souvent de parler les uns avec les autres. (Extrait du Figaro, Rubrique DébatsOpinions, Courrier des lecteurs, 2 avril 2006)

3 avril 2006

LES REFORMES DU CONTRAT DE TRAVAIL

«Ils s’enferment dans les mythes appris par coeur: le travail est un droit et l’allocation, un acquis»

« Le seul moyen de passer rapidement à un taux de chômage autour de 5 % consiste non pas à échafauder une politique de l’emploi, en créant arbitrairement des modèles rigides applicables à tous (35 heures) ou en inventant des contrats-types réservés à des catégories de salariés (jeunes, femmes ou vieux), mais à engager une vaste et audacieuse politique de la croissance, alliant trois éléments inséparables : une baisse rapide et significative de la pression fiscale; l’accroissement de la libre concurrence ; l’assouplissement réel du droit du travail pour l’ensemble de la population. Il faut également du temps (environ quatre ans) pour voir apparaître les effets positifs de la réforme.

Tous les pays qui ont fait ce pari ont, sans exception, réussi. Mais étrangement, aucun dirigeant français n’a proposé de leur emboîter le pas, préférant perpétuer l’excès d’Etat qui étouffe, depuis tant d’années, le travail et la prise de risque, et laisser fuir un million de jeunes vers des cieux plus cléments (où, étrangement, on ne manifeste jamais contre la «précarité du travail»).

Avec le CPE, le gouvernement démontre non sans courage avoir compris qu’il vaut mieux un système dans lequel on peut certes perdre plus facilement son emploi mais où l’on peut tout aussi facilement en retrouver un autre. » (Extrait du Figaro, Rubrique DébatsOpinions, 1er avril 2006)

Publicité
Publicité
3 avril 2006

LE CONTRAT PREMIERE EMBAUCHE

Le Contrat Première Embauche est :

Ø      Un contrat de travail exclusivement réservé aux jeunes de moins de 26 ans (qui est valable uniquement dans les entreprises de plus de 20 salariés).

Ø      Un contrat a durée indéterminée (CDI) avec une période dite de consolidation. C’est-à-dire que durant la première année dans une entreprise, le patron pourra licencier son employé sans motif. Comme il s’agit d’un CDI le salaire est aussi élevé.

Le Contrat Première Embauche vient en réponse à divers facteurs :

Ø      23% des jeunes sont sans emploi mais ils n’ont pas le droit à l’allocation chômage car ils n’ont jamais travaillé. Donc, même s’ils sont licenciés avant la fin de la période de consolidation, ils auront droit au chômage.

Ø      Les jeunes ne trouvent plus de CDI, et ils mettent en moyenne 8 à 11 ans à trouver un emploi stable (un CDI) car ils ne trouvent que des contrats à durée déterminée (CDD). Le CPE permet donc aux jeunes d’accéder à un CDI (donc un emploi stable) au bout d’un an seulement.

Ø      Les patrons, de nos jours, hésitent à embaucher car s’ils ne sont pas satisfaits de leurs employés, il leur sera très difficile de les licencier. De plus, les jeunes n’ont souvent jamais travaillé : les patrons ne sont donc pas sur qu’ils seront capables de travailler en entreprise, ils préfèrent donc embaucher une personne ayant déjà une expérience professionnelle d’où le fort taux de chômage chez les jeunes. Donc même si le jeune est licencié il aura acquis une expérience professionnelle.

Les arguments des opposants :

Ø      On peut être licencié à tout moment, c’est donc un emploi ‘précaire’ è mais rappelons que les jeunes sont très touchés par le chômage donc il vaut mieux avoir un CPE que ne pas avoir d’emploi. En effet, la vraie précarité de nos jours, c’est de ne pas avoir d’emploi ! A quoi servent des ‘acquis sociaux’ s’ils empêchent d’obtenir un emploi.

Ø      On peut se retrouver du jour au lendemain sans emploi è Faux car le licencié doit être prévenu 2 semaines avant (ou un mois si l’employé a déjà travaillé 6 mois dans l’entreprise)

Ø      On peut être licencié si on est malade è c’est faux car un employé malade ne peut être licencié ! 

Ø      On peut être licencié si on est enceinte è c’est encore faux car une femme enceinte ne peut être licenciée ! 

Ø      Les jeunes ne pourront accéder à un logement  car aucune banque n’acceptera de leur accorder un prêt è c’est toujours faux car les banques françaises ont toutes déclarées qu’elles considéraient le contrat première embauche comme un CDI pour l’accès au crédit. 

èRappelons que ce texte a été voté par le Parlement et qu’il doit donc être appliqué selon les valeurs de la République. Rappelons aussi que les jeunes qui bloquent les universités qu’ils vont à l’encontre d’un droit inscrit dans la Constitution française: le droit à l'enseignement.

Et rappelons que ne rien faire serait pire : cela reviendrait à abandonner les jeunes.

Publicité
Publicité
Publicité